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La Commune de Paris … Toujours vivante

Alain Amicabile a écrit fin 2009 « La Commune de Paris … Toujours vivante » (éditions de l’Ingénu). L’auteur répond aux questions du Colibri à propos de cet ouvrage et de l’actualité que l’expérience communaliste, trop peu connue, conserve, selon lui, aujourd’hui encore notamment sur la question de la démocratie.

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Avant tout, peux-tu situer le terme « Commune » et sa signification historique ?

Ce que les insurgés du printemps 1871 à Paris nomment “Commune” Read more »


Stochocratie

Le Colibri S&D a publié dans le numéro 4 des exemples d’expériences réussies de stochocratie. La rédaction était très partagée sur la publication ou non de cet article : il aiderait à ouvrir les esprits pour certains, il discréditerait le Politique pour d’autres. Par ouverture d’esprit, nous avons finalement décidé de le publier dans le journal papier, en lançant un débat sur le site internet..

N’est-ce pas une fausse bonne solution ? Serait-ce applicable à grande échelle, en Économie Distributive ou dans nos actuelles démocraties ? Le débat est ouvert, réagissez en envoyant votre commentaire !

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Voici l’argumentation de Damien Réhar, militant du tirage au sort :

Les élections nuisent gravement à la démocratie.

Selon Aristote, « le vote était d’essence aristocratique et le tirage au sort d’essence démocratique ».

Pour s’en convaincre il suffit d’effectuer un rapide bilan des politiciens au pouvoir ou de ceux qui veulent leurs places, l’immense majorité est issue des classes sociales supérieures. Mitterand, Chirac, Balladur, De Villepin, Raffarin, Fabius, Berlusconi, Bush (père et fils), DSK, Giscard, etc…

Revenir aux fondements de la démocratie

Etymologiquement, demos veut dire peuple et kraten pouvoir. Donc, le pouvoir du peuple, par le peuple et pour le peuple. En quoi, les retraites, les OGM, les autoroutes, la politique énergétique, les traités européens sont-ils débattus par le peuple ?

Alors, quelle solution pour que le peuple puisse à nouveau jouir de son pouvoir ?

Je prône la stochocratie1 ou le tirage au sort des élus.

Le tirage au sort ne résout pas tous les problèmes, mais presque

En stochocratie, il sera impossible de « faire carrière ». A-t-on déjà vu quelqu’un gagner deux fois de suite, le 6 au loto ? La « magie » du tirage au sort ne permettra pas ce genre de fantaisie, coutumière avec le vote.

L’élu stochocratique devra être présent sur les bancs des parlementaires, comme n’importe quel salarié. En cas d’absence injustifiée, sa rémunération en sera écornée au prorata temporis.

Une représentativité presque parfaite

Si un nombre fait l’unanimité chez les statisticiens pour qu’un échantillon soit représentatif d’une population, c’est celui de 1 000. Ce nombre, correspond à l’addition des deux chambres parlementaires, l’assemblée nationale et le sénat. Il en résultera une véritable représentativité, les femmes représenterons 52 % des parlementaires, les ouvriers 20 % les employés 20 %, les chômeurs 15 %, les français vivant avec moins de 1 200 € par mois 50 %, n’oublions pas les énarques et autres notables, mais dans la même proportion que dans la vraie vie.

Et pour que la représentativité soit parfaite, les indemnités de chaque parlementaire seront basées sur leurs salaires antérieurs au tirage au sort. Dans la vraie vie, il y a une disparité salariale, cette dernière, si l’on veut une assemblée représentative de la population française, doit subsister.

Ce n’est qu’à cette condition que l’on pourra obtenir de véritables débats entre différentes classes sociales et non plus, comme c’est le cas, entre nos élus actuels, qui ont obligation de se plier à la dictature de leur parti.

Le problème de la compétence

Les grecs anciens considéraient déjà que la gestion de la République était une chose trop sérieuse pour la confier à des politiciens. Actuellement, si chaque citoyen a les compétences requises pour voter le candidat de son choix, même s’il est avéré qu’il soit « le fils spirituel de Hitler22 » il, a également les compétences pour siéger dans une assemblée. Grâce à l’éducation nationale, chaque français est censé, savoir lire, écrire, calculer et raisonner, ce qui en fait un citoyen éclairé.

L’abstention active pour parvenir à imposer la stochocratie

Comme toute guerre se termine par manque de combattants, je vous invite à rejoindre les abstentionnistes actifs. Actifs dans le sens où, ils ne souhaitent plus donner de crédit, par leur vote (qu’il soit, de droite, de gauche, nul ou blanc) à un système qui n’a de démocratie que le nom.

Et vous savourerez un plaisir rare, celui de demander à votre député de vous expliquer la provenance de sa légitimité avec une participation déclinant d’élection en élection.

Damien Rehar

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Citations :

– Aristote « il est démocratique, par exemple, de tirer les magistrats au sort ; oligarchique, de les élire »

– Jean-Jacques Rousseau « Spartes était une aristocratie parce que ses magistrats étaient élus »

– Montesquieu « Le suffrage par le sort est de la nature de la démocratie ; le suffrage par le choix est de celle de l’aristocratie »

– Louis XVIII « Le représentatif me convient à merveille… depuis que nous avons des députés à nous (…) ils ne me coûtent pas, chaque année, un mois de Mme de Cayla… (…) je n’aimais point du tout ce représentatif ; mais il est à notre bénéfice et dont le produit est immense, le danger nul, quoi qu’on en dise…».

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Livres conseillés par l’auteur :

L’élection organise une aristocratie, L. Henry et Ph-A Pouille, 10 mars 2008.

La Stochocratie, Roger de Sizif, éd les belles lettres. 1998.

La démocratie est morte, vive la clérocratie ! François Amanrich, , Barre & Dayez, 1999

Principes du gouvernement représentatif Bernard ManinFlammarion, coll. « Champs », 1996

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Liens utiles conseillés par l’auteur :

http://stochocratie.free.fr

http://conallboyle.com

http://etienne.chouard.free.fr

http://www.clerocratie.com

1Stocho = hasard / Kraten ou Cratie = pouvoir

2Dixit Paul Elie Lévy, qui gagna le procès contre Jean-Marie LePen, pour avoir prononcé cette phrase.

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Voici la réponse à Damien Rehar de Jean-Yves Causer et Dédé Barnoin :

La « stochocratie » : une vraie fausse bonne idée ?

Face à la bureaucratisation de la vie politique ou aux difficultés de faire entendre ceux qui sont « parlés » (c’est-à-dire tous ceux qui seraient à la fois condamnés au silence et aux préjugés des commentateurs autorisés à en parler) et qui ne constituent pas, aux yeux de bon nombre de responsables politiques, une clientèle électoralement porteuse ou intéressante, le désir est grand d’instaurer de nouvelles règles du jeu avec des mots d’ordre simplificateurs : tirons au sort nos responsables politiques pour susciter un appel d’air démocratique !

Cette proposition contient, en fait, deux présupposés implicites : le premier est que tous les avis se valent même lorsqu’il faut trancher par rapport à un dossier lourd ou complexe et le second sous-entend que la nécessité de transformer en profondeur le système néolibéral n’est plus une priorité dans la mesure où les élus tirés au sort seraient garants d’un fonctionnement démocratique renouvelé.

Ce qui peut ressembler à une bonne blague à la Coluche, du style « prenons les meilleurs à gauche et à droite », (l’ouverture était déjà en germe en 1981?), ne peut qu’insulter tous les élus de terrain, (les plus nombreux), qui donnent de leur temps au quotidien sans rien attendre en retour. A défaut d’une marque de reconnaissance, il importe de ne pas les caractériser comme de simples pions interchangeables. Il serait d’ailleurs temps de ne plus confondre valeur sociale de l’agent qui se réfère à une réputation, à l’appartenance identitaire à une pluralité de réseaux (surface sociale ou capital symbolique aurait dit le sociologue Pierre Bourdieu) et valeur humaine de la personne se jaugeant à la capacité de donner et de se donner sans compter (ce qui nous ramène notamment aux travaux du Manifeste Anti Utilitariste en Sciences Sociales).

Plus sérieusement, nous ne pensons pas que des aménagements marginaux, comme le tirage au sort des représentants au sein de groupes de militants (évidemment plus pertinents qu’un simple sondage aléatoire) puissent nous dispenser d’un mouvement sociétal européen, aujourd’hui indispensable pour l’instauration d’une politique alternative au capitalisme. Ce qui ne nous empêche pas de promouvoir diverses expérimentations solidaires car le combat pour une meilleure participation active et citoyenne passe par les urnes, les manifestations et l’expérimentation de nouveaux modes du vivre ensemble. C’est pourquoi nous ne pouvons souscrire au concept de stochocratie qui substitue le hasard à l’engagement politique.

Jean-Yves Causer et Dédé Barnoin

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À vous de réagir en rédigeant votre commentaire…

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publié le 08/11/2010

Les élections nuisent gravement à la démocratie.

Selon Aristote, « le vote était d’essence aristocratique et le tirage au sort d’essence démocratique ».

Pour s’en convaincre il suffit d’effectuer un rapide bilan des politiciens au pouvoir ou de ceux qui veulent leurs places, l’immense majorité est issue des classes sociales supérieures. Mitterand, Chirac, Balladur, De Villepin, Raffarin, Fabius, Berlusconi, Bush (père et fils), DSK, Giscard, etc…

Revenir aux fondements de la démocratie

Etymologiquement, demos veut dire peuple et kraten pouvoir. Donc, le pouvoir du peuple, par le peuple et pour le peuple. En quoi, les retraites, les OGM, les autoroutes, la politique énergétique, les traités européens sont-ils débattus par le peuple ?

Alors, quelle solution pour que le peuple puisse à nouveau jouir de son pouvoir ?

Je prône la stochocratie1 ou le tirage au sort des élus.

Le tirage au sort ne résout pas tous les problèmes, mais presque

En stochocratie, il sera impossible de « faire carrière ». A-t-on déjà vu quelqu’un gagner deux fois de suite, le 6 au loto ? La « magie » du tirage au sort ne permettra pas ce genre de fantaisie, coutumière avec le vote.

L’élu stochocratique devra être présent sur les bancs des parlementaires, comme n’importe quel salarié. En cas d’absence injustifiée, sa rémunération en sera écornée au prorata temporis.

Une représentativité presque parfaite

Si un nombre fait l’unanimité chez les statisticiens pour qu’un échantillon soit représentatif d’une population, c’est celui de 1 000. Ce nombre, correspond à l’addition des deux chambres parlementaires, l’assemblée nationale et le sénat. Il en résultera une véritable représentativité, les femmes représenterons 52 % des parlementaires, les ouvriers 20 % les employés 20 %, les chômeurs 15 %, les français vivant avec moins de 1 200 € par mois 50 %, n’oublions pas les énarques et autres notables, mais dans la même proportion que dans la vraie vie.

Et pour que la représentativité soit parfaite, les indemnités de chaque parlementaire seront basées sur leurs salaires antérieurs au tirage au sort. Dans la vraie vie, il y a une disparité salariale, cette dernière, si l’on veut une assemblée représentative de la population française, doit subsister.

Ce n’est qu’à cette condition que l’on pourra obtenir de véritables débats entre différentes classes sociales et non plus, comme c’est le cas, entre nos élus actuels, qui ont obligation de se plier à la dictature de leur parti.

Le problème de la compétence

Les grecs anciens considéraient déjà que la gestion de la République était une chose trop sérieuse pour la confier à des politiciens. Actuellement, si chaque citoyen a les compétences requises pour voter le candidat de son choix, même s’il est avéré qu’il soit « le fils spirituel de Hitler22 » il, a également les compétences pour siéger dans une assemblée. Grâce à l’éducation nationale, chaque français est censé, savoir lire, écrire, calculer et raisonner, ce qui en fait un citoyen éclairé.

L’abstention active pour parvenir à imposer la stochocratie

Comme toute guerre se termine par manque de combattants, je vous invite à rejoindre les abstentionnistes actifs. Actifs dans le sens où, ils ne souhaitent plus donner de crédit, par leur vote (qu’il soit, de droite, de gauche, nul ou blanc) à un système qui n’a de démocratie que le nom.

Et vous savourerez un plaisir rare, celui de demander à votre député de vous expliquer la provenance de sa légitimité avec une participation déclinant d’élection en élection.

Damien Rehar

Citations

– Aristote « il est démocratique, par exemple, de tirer les magistrats au sort ; oligarchique, de les élire »

– Jean-Jacques Rousseau « Spartes était une aristocratie parce que ses magistrats étaient élus »

– Montesquieu « Le suffrage par le sort est de la nature de la démocratie ; le suffrage par le choix est de celle de l’aristocratie »

– Louis XVIII « Le représentatif me convient à merveille… depuis que nous avons des députés à nous (…) ils ne me coûtent pas, chaque année, un mois de Mme de Cayla… (…) je n’aimais point du tout ce représentatif ; mais il est à notre bénéfice et dont le produit est immense, le danger nul, quoi qu’on en dise…».

Livres conseillés par l’auteur :

L’élection organise une aristocratie, L. Henry et Ph-A Pouille, 10 mars 2008.

La Stochocratie, Roger de Sizif, éd les belles lettres. 1998.

La démocratie est morte, vive la clérocratie ! François Amanrich, , Barre & Dayez, 1999

Principes du gouvernement représentatif Bernard ManinFlammarion, coll. « Champs », 1996

Liens utiles conseillés par l’auteur :

http://stochocratie.free.fr/

http://conallboyle.com

http://etienne.chouard.free.fr/

http://www.clerocratie.com

1Stocho = hasard / Kraten ou Cratie = pouvoir

2Dixit Paul Elie Lévy, qui gagna le procès contre Jean-Marie LePen, pour avoir prononcé cette phrase.


La sociocratie, un mode de gouvernance pour le XXIe siècle ?

Après des siècles de pouvoir autocratique sur l’ensemble de la planète, l’avènement des démocraties semblait constituer une réponse satisfaisante au besoin d’émancipation et d’expression des peuples. Malheureusement, ce n’est bien souvent qu’illusion, car une fois élus, les dirigeants ont tendance à ne pas tenir compte des aspirations de la population et l’on constate bien souvent les mêmes dérives que dans les régimes autoritaires et les mêmes constats d’échecs : résultats économiques décevants, minorités ignorées, inégalités criantes, ascenseur social en panne, dirigeants coupés des populations sans parler de la tendance au clientélisme, à la corruption et parfois même à la xénophobie ; et lorsque les choses s’aggravent, tendance à imposer un régime autoritaire. C’était vrai des démocraties dites populaires – qui ont pour la plupart disparu, tout du moins en Europe -, gangrénées par le centralisme et la bureaucratie. Ça l’est aujourd’hui des démocraties libérales, où l’idéologie dominante tente de condamner les citoyens acteurs au rôle de consommateurs serviles et les États-Nations à subir la loi des grands groupes économiques et de l’oligarchie de la finance internationale.

En face de ce constat, il nous paraît intéressant d’explorer le concept de sociocratie. De quoi s’agit-il ? Read more »


Projet de territoire avec ColorVote aux Chaufourniers


François Guillotte a présenté l’outil ColorVote dans le Colibri n°4 page 14. Voici plus de détails sur la globalité du « projet de territoire », à travers cet article complet, paru dans les Cahier de l’Institut d’Aménagement et d’Urbanisme d’Ile de France n°155 d’août 2010 sous le titre « Les habitants et le projet de territoire des Chaufourniers ».

Lire l’article (pdf de 2 pages).

Pour télécharger le cahier dans son ensemble, allez sur cette page (92 pages).

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publié le 05/11/2010


ONG au secours de la France : BSF, DSF, SDM…

« ONG land », le pays des ONG. La France mérite ce surnom, tant sont nombreuses ses associations humanitaires et développementistes, œuvrant dans presque tous les pays du Sud. L’inverse est-il vrai ? Existe-t-il des ONG du Sud œuvrant sur notre sol ? Non, penserez-vous. Pourtant, des initiatives existent, comme les associations Bamako France Solidarité (BFS), Démocrates Sans Frontières (DSF) et Sens Du Monde (SDM)…

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…le Colibri S&D vous invite à lire l’excellent article du Congolais Patrick Eric Mampouya. Lire ici

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Allons, fiers Français, humilité et courage !

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publié le 30/10/2010


Moi, la finance et le Développement Durable

Que fait la banque de votre argent qui dort sur votre compte courant ?

Savez-vous où va vraiment votre épargne ?

Investir Socialement Responsable est-il possible ?

Jocelyne Lemaire Darnaud a réalisé un excellent film-documentaireAffiche du film "Moi, la finance et le DD" qui permet au néophyte de comprendre les bases du fonctionnement bancaire et de l’Investissement Sociétalement Responsable (ISR). Ce qui est particulièrement important dans notre société hautement financiarisée.

Le documentaire est agréable à regarder, car il fonctionne sur une alternance d’entretiens et de scènes de la vie quotidienne d’une ménagère, agrémentée de quelques touches humoristiques bien-à-propos.

Ayant moi-même été actif dans le domaine1, j’apprécie beaucoup le ton du film : constructif et intègre, sans ménagement ni démagogie.

Aux gens qui se demandent si les institutions mises en avant dans le film jouent réellement le jeu et si les acteurs sont bien sincères, je peux attester que la motivation des personnes montrées dans le film est bien prégnante. Concernant celle des institutions et la portée des transformations sociétales de l’ISR, je vous laisse le soin de découvrir le film, notamment les interventions des Amis de la Terre2 et d’Amnesty International.

Eric Goujot

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PS : La réalisatrice ne pouvant pas répondre à toutes les sollicitations pour intervenir dans des débats, j’aurai eu l’honneur de la représenter ou de l’accompagner à ces occasions : à Minverve au Maquis (Cravirola) le 06/08/11, dans les CCAS d’EDF à Soulac, Montbrun-les-Bains et Morillon (fin juillet 2011), à Audincourt dans le cadre des « 6ème Semaine du Cinéma Social » (05/04/11), à Châlon-en-Champagne à la Comète (03/03/11), à Epinal au Palace (18/01/11), à Mulhouse au Bel Air (07/10/11), à Metz au Caméo Ariel (16/11/10), à Nancy au Caméo Commanderie (30/09/10)

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Site du film

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1 notamment avec le collectif Rencontres Épargne Solidarité [je recommande l’enquête réalisée à Bourg-en-Bresse pour ceux qui veulent en savoir plus sur l’intérêt de l’ISR en 2004] et l’association Observatoire de l’Éthique [aujourd’hui Éthifinance]

2 Les Amis de la Terre viennent de publier deux excellents documents :

– le guide Environnement : comment choisir mon épargne ?

– l’étude ISR, l’heure du tri

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publié le 21/10/2010


Dangereuses contradictions

Comprendre pour mieux agir. A partir de l’expérience pas du tout durable, distributive ni solidaire de la raffinerie de Dunkerque, Jacques Brethé fait ressortir des contradictions fondamentales de notre société. Des arguments implacables, qui rendent incontournables des changements en profondeurs. Du petit lait pour l’Économie Distributive…

Rien n’est pire pour un sujet pensant, que la contradiction, elle affole, elle signifie l’impossibilité à raisonner juste et elle devient rapidement un tracas, un tourment, elle détruit de l’intérieur, elle mine la personne et la société. Ne pas savoir que penser, ne pas savoir où se situe la contradiction crée le malheur.

Le véritable responsable d’une catastrophe Read more »


Travailler 1h par jour selon Bizi!

Couverture du livre "Travailler 1h par jour" de Bizi!A l’occasion du premier anniversaire de la loi sur le travail le dimanche, Bizi! a publié un livre sur la réduction massive du temps de travail.

Il s’agit de remettre les pendules à l’heure sur la question du travail, de démontrer l’absurdité de certaines soi-disantes évidences, et de faire apparaître les éléments manquants -car systématiquement escamotés- du débat sur le temps de travail.

Ce texte Read more »


Association et charte Énergie Partagée

Des citoyens s’investissent dans le développement territorial des énergies renouvelables et de l’efficacité énergétique

Réunis le 16 juin à Paris, des acteurs* du secteur des énergies renouvelables, de l’efficacité énergétique et de l’investissement citoyen ont, dans le droit fil de la Charte Énergie Partagée adoptée le 18 mai dernier (jointe à ce communiqué), créé l’association Énergie Partagée.

Fruit de plusieurs mois de travail, cette initiative se veut Read more »


Solidarité des collègues face à la maladie dans le Forez

Le Colibri S&D invite à découvrir le très beau geste vécu dans le Forez, relayé par le Progrès : Read more »